Institut canadien de la recherche sur la condition physique et le mode de vie, ParticipACTION. (2009). La sédentarité. [Publication officielle]
![]() Prévisualisation |
PDF
Télécharger (398kB) |
Résumé
tre modérément acti f est-il suffi sant pour éliminer les risques de l’inacti vité? Quatre nouvelles études indiquent que le temps consacré à des acti vités sédentaires augmente le risque d’embonpoint et d’obésité, sans égard au temps consacré à des acti vités physiques. Les études indiquent aussi que d’intégrer des périodes d’acti vité physique aux périodes sédentaires réduit ce risque. Toutefois, les données les plus récentes révèlent que les Canadiens et Canadiennes passent un nombre d’heures élevé à des acti vités sédentaires. Les périodes d’acti vité physique et d’acti vité sédentaire peuvent coexister de nombreuses façons. Par exemple, une personne qui respecte les normes d’acti vité physique peut aussi consacrer beaucoup de temps à des acti vités sédentaires comme être assis au travail ou regarder la télévision. D’un autre côté, une personne qui fait moins d’acti vité physique qu’il est recommandé en n’accomplissant que des acti vités de faible intensité tout au long de sa journée consacre peut-être moins d’heures à des acti vités sédentaires au travail ou durant ses loisirs. De plus, l’acti vité sédentaire peut être interrompue ou intercalée de périodes de mouvement.
Type de document: | Publication officielle |
---|---|
Déposé par: | Coordonnateur OQL |
Date de dépôt: | 06 juin 2012 13:32 |
Dernière modification: | 06 juin 2012 13:32 |
URI: | https://bel.uqtr.ca/id/eprint/1527 |
Gestion Actions (Identification requise)
![]() |
Dernière vérification avant le dépôt |