Conseil permanent de la jeunesse (2004). L’Histoire du Conseil permanent de la jeunesse. Tout (ou presque) sur les 15 ans du CPJ.
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Résumé
(...) Les événements mobilisateurs des années 80 avaient été marqués par de fortes dissensions et de nombreuses contestations. Les quelque 2 000 propositions issues du Sommet québécois de la jeunesse de 1983 démontrent la diversité des préoccupations, des points de vue et des revendications des jeunes, ce qui n’est pas sans complexifier l’intervention du gouvernement. Les années 90 annoncent toutefois un resserrement graduel du mouvement « jeunesse ». Différentes initiatives gouvernementales, comme le financement des regroupements d’organismes communautaires « jeunesse », facilitent le réseautage des groupes de jeunes. Plus tard, la création d’organismes comme le Comité aviseur-jeunes d’Emploi- Québec permettra aussi aux jeunes associés à différentes causes d’échanger des points de vue, de se comprendre et d’agir davantage en harmonie. L’institutionnalisation du mouvement « jeunesse » et la création de multiples lieux de concertation auront certainement influé sur la capacité des jeunes à faire front commun. Leur action au Sommet du Québec et de la jeunesse de 2000 a semblé, aux yeux de plusieurs observateurs, être la manifestation évidente d’un groupe non homogène, mais bien structuré et qui favorise la concertation.
Type de document: | Article |
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Mots-clés libres: | L’Histoire du Conseil permanent de la jeunesse. |
Déposé par: | Coordonnateur OQL |
Date de dépôt: | 06 juin 2012 13:26 |
Dernière modification: | 06 juin 2012 13:26 |
URI: | https://bel.uqtr.ca/id/eprint/1387 |
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